Le business plan, Formation pour créateur ou repreneur d'entreprise

L'école de la banque et de la microfinance Nantes

Le business plan :

                                                                                       Formation pour créateur ou repreneur d’entreprise

Préparer le business plan

L’école de la microfinance propose une formation très pratique de 5 jours en présentiel pour construire le business plan de votre entreprise.

La formation « L’établissement du business plan » apporte aux futurs chefs d’entreprises une réflexion à 360 ° sur la totalité des points critiques  à vérifier et à sécuriser  avant la création ou  la reprise d’une entreprise.

Sont notamment étudiés, l’analyse de l’étude marché et des opportunités de ventes, la gestion au quotidien de l’entreprise, ou encore le processus d’élaboration des états financiers prévisionnels.

Le business plan est un document écrit qui vous permet d’évaluer la viabilité de votre projet.

 

 

Comment construire un business plan ?

 

1 L’utilité du business plan (ou plan d’affaires)

1 Le business plan présente l’entreprise

 

Le business plan apporte une vue synthétique de son entreprise ; Quelle a été la démarche du ou des fondateur (s), quelle est leur histoire, son historique, quels produits seront fabriqués ou vendus, quels services.

 

Le créateur présente ici son idée et son originalité en terme de créations et de développements. Il indique aussi le but qu’il poursuit en créant l’entreprise, et ce qui va lui être nécessaire pour réaliser son projet (équipements, financement, acquisition de droits…)

 

Le lien vers la formation à l’accompagnement de l’entreprise

2 La rédaction du business plan

Le business plan est un outil précieux puisqu’il sera utilisé à chaque étape du lancement de l’affaire et en particulier dans la phase de recherche de financements ou dans la recherche de partenariats.

 

Aussi la forme, la rédaction, vont avoir une très grande importance. Le business plan doit pouvoir être compris et doit convaincre.

 

Le lancement ou non de l’affaire en dépend souvent. Le business plan devra être structuré de telle manière que ceux à qui il est destiné comprennent et approuvent la démarche de recherche, de validation et d’analyse de l’information.

 

3 Le survol du projet

 

L’objectif du survol est de fournir au lecteur un aperçu général très rapide de l’entreprise. Cette partie doit montrer en peu de lignes la cohérence des choix de l’entrepreneur et montrer votre connaissance du secteur et montrer que tout investissement dans l’entreprise sera profitable et viable.

Il faut avoir en tête que certains lecteurs ne liront pas tout le business plan et pourront arrêter leur lecture après la page du survol si le projet ne leur parait pas suffisamment convaincant.

 

4 Le choix du statut juridique de la future entreprise

Le choix de la forme juridique de l’entreprise que l’on va créer est fondamental.

Pour ceux qui souhaitent exercer seuls , les formes juridiques d’entreprise  sont la SASU, l’entreprise individuelle, l’auto-entrepreneur)

Pour ceux qui vont réunir plusieurs compétences il faudra créer une société (SARL, SAS, SA…)

Le choix du type de société entraine de nombreuses  conséquences comptables, fiscales et sociales.  Il conditionne  la responsabilité des créateurs.

Certaines formes juridiques  ne favorisent pas le développement de l’activité où sont pénalisantes fiscalement avec par exemple l’impossibilité de déduire les charges réelles.

 

2 Le business plan : L’étude économique

 

1 Le business plan : L’étude du marché

 

L’étude du marché est particulièrement déterminante dans le business plan.

Elle doit définir le marché de l’entreprise et le caractériser : s’agit-il d’un marché local, régional, national ?

Quelles sont les volumes globaux du marché, comment évolue le marché ?

Quelles sont les caractéristiques de la demande : panier moyen, qualité des produits, le marché est-il en progression, en stagnation, en déclin ?

2 Le business plan : Les produits et services que l’entreprise propose

 

Les produits ou services de l’entreprise sont-ils innovants ?

L’entreprise a-t-elle un savoir-faire spécifique ?

L’entreprise travaillera-t-elle avec un partenaire ?

L’entreprise sera-t-elle en franchise ou dispose-t-elle d’un brevet ?

3 Le business plan : Quelle sera la clientèle

 

Quelle clientèle l’entreprise peut-elle conquérir ? Pourquoi les clients choisiront ils cette entreprise ?

Quel est l’état de la concurrence, leurs prix, leurs produits, leurs atouts ?

Quels sont les entreprises déjà présentent sur le marché ? Y a-t-il de nouveaux entrants ?

 

 

 

3 Le business plan : L’étude financière

 

1 Le business plan : Les états prévisionnels

Une fois bien définis le marché et les produits que l’entreprise proposera, il reste à préparer les prévisions financières.

Tout part des prévisions de chiffre d’affaires ou des prévisions d’articles vendus mois par mois. En découlent les charges nécessaires pour la vente, des charges fixes qui sont indépendantes des ventes et des charges proportionnelles aux ventes.

En posant tous ces éléments sur une situation de trésorerie annuelle, on peut définir la trésorerie mois par mois et les besoins de fonds de roulement.

Un compte de résultat prévisionnel, ajusté à la révision de trésorerie permet d’évaluer la rentabilité, les charges, les fluctuations des liquidités.

Le bilan prévisionnel de départ et le bilan après une année de fonctionnement permettent de définir le financement qui sera adapté au projet.

 

 

2 Le business plan : le recours à un crédit

Que financera le crédit ? un investissement ou le fonds de roulement ?

La recherche de financement peut être délicate. Il faudra soit passer par des Juris de type France Initiative qui vont éventuellement accepter une petite part du financement du projet, soit se tourner vers des banques qui naturellement seront frileuses devant une création d’entreprise. D’où la nécessité de présenter un business plan parfaitement rédigé et de savoir convaincre de la qualité du projet.

 

Attention, les banques étudient les dossiers en fonction de la probabilité de remboursement des prêts. Aussi pour un créateur d’entreprise ils vont se placer dans la situation là moins favorable pour la jeune entreprise en augmentant les charges probables tout en pensant que les ventes que l’entreprise aura prévues par exemple dès le second mois, ne seront au rendez-vous que le 4ème mois. Cette façon de procéder fait partie du travail normal d’évaluation.

L’entrepreneur aura donc intérêt à bien expliquer que lui-même en rédigeant son document s’est situé dans la situation la plus défavorable, en sachant très bien qu’il y aurait des aléas

 

3 Le business plan : Les prix de vente permettent-ils de dégager une marge ?

 

L’entrepreneur doit pouvoir se verser un salaire et pour assurer la pérennité de son entreprise, il doit dégager un bénéfice qui permettra d’investir et de développer.

 

Pour cela l’important c’est que sur toute vente ou sur tous les services vendus, l’entreprise dégage une marge bénéficiaire.

 

Le prix de vente doit être fixé en fonction de ce besoin de dégager une marge suffisante.

Le calcul du seuil de rentabilité prévisionnel permet de vérifier à partir de quel niveau de chiffre d’affaires l’entreprise sera rentable.

 

4 Le scénario précis du lancement du projet

 Le choix du local
Le choix de la date d’ouverture
La création du site Internet
La présence sur les réseaux sociaux :
La communication auprès de son réseau
Susciter l’intérêt du public et de commencer à réaliser des ventes, dès le jour de l’ouverture.

 

 

 

Comment réaliser le diagnostic de la jeune entreprise ? (Module n° 115)

 

Michel HAMON formation à l'école de la banque

Michel HAMON à BRUXELLES

Pour pouvoir définir sa stratégie, la façon qu’elle aura de s’attaquer à son marché, l’entreprise a besoin d’identifier ses points forts et ses faiblesses.

Un diagnostic se construit étape par étape en examinant l’ensemble des politiques de l’entreprise.

Un bon diagnostic d’entreprise aide à prendre la bonne décision car il s’appuie sur un discernement critique et n’hésite pas à remettre en cause le fonctionnement actuel de l’entreprise ou les hypothèses initiales en cas de doute important sur l’adaptation produit/marché.

Un diagnostic est factuel. Il repose sur des investigations tant en interne qu’en externe, des interrogatoires rigoureux, sur une écoute attentive, sur un dialogue véritable, sur un bon examen des opportunités et menaces.  Tous ces éléments aident le conseil d’administration et le chef d’entreprise pour décider ce qui apparait le meilleur choix stratégique.

 

L'école de la microfinance est certifiée QUALIOPI

L’école de la microfinance est certifiée QUALIOPI

 

 L’école de la microfinance propose un cours sur le diagnostic composé de 3 parties complémentaires

Au moment de la création de l’entreprise le fonctionnement en période de croisière était très flou. Maintenant il va falloir ajuster, corriger quelques paris de départ qui n’étaient pas les meilleurs.

On tient compte désormais de la réalité de l’exploitation.

La formation proposée aux chefs d’entreprises se fait en 4 modules :

  1. Le diagnostic commercial
  2. Forces, faiblesses, opportunités, menaces
  3. Les risques en entreprise
  4. L’analyse des échecs des entreprises

Le lien vers la formation à l’accompagnement de l’entreprise

 

1. Le diagnostic commercial

1 Le fonctionnement général de l’entreprise, les conditions générales de ventes

2 L’entreprise et son marché

3 Les produits de l’entreprise

 

2. Forces, faiblesses, opportunités, menaces

La qualité du diagnostic va permettre d’élaborer un projet cohérent qui réponde :

  • Aux possibilités des hommes de l’entreprise,
  • A l’organisation de l’entreprise
  • A un espace géographique défini,
  • Au climat social interne et externe
  • Aux équipements dont dispose l’entreprise,
  • A la culture et à l’environnement local,
  • Aux produits et services de l’entreprise

Il convient pour chaque point de bien inclure parmi les forces de l’entreprise les éléments internes qui favorisent la performance de l’entreprise en lui donnant un avantage par rapport à la concurrence.

L’examen doit aussi prendre en compte toutes les faiblesses qui freinent l’entreprise et ont un impact négatif.

Attention à savoir utiliser les opportunités du marché et toutes les facilités qui peuvent exister un moment. Elles entraineront le développement des affaires.

De nouveaux entrants, de nouveaux produits peuvent constituer des menaces.   Il faut les avoir parfaitement identifiés pour construire une stratégie qui fonctionne.

 

3 Les risques de l’entreprise

Les entreprises sont soumises à de multiples risques. Pour bien s’y retrouver il est nécessaire d’effectuer une cartographie des risques.

L’entreprise mesure ensuite ses risques en calculant la perte maximale en cas de réalisation du risque et la probabilité que le risque se produise.

Les risques sont ainsi classés et ordonnés en fonction de leurs coûts.

Le but pour l’entreprise est d’essayer d’atténuer les risques. Aussi elle essaiera de mettre en place des contrôles qui lui permettront de réduire le risque et quand c’est possible elles transféreront le risque à un tiers l’assureur.

 

4. L’analyse des échecs des entreprises

1 Les problèmes de stratégie

2 Les problèmes de gestion

3 Les problèmes financiers

 

Les comptes annuels d’une entreprise se composent de trois éléments indissociables : le bilan, le compte de résultat et l’annexe.

– Le bilan décrit le patrimoine et les dettes  de l’entreprise à un instant «T».

Une description précise de ce que possède et ce que doit l’entreprise.

Au bilan on calcule en particulier le fonds de roulement, le besoin de fonds de roulement et la trésorerie.

Le bilan permet de se pencher sur le  financement actuel des activités, sur les besoins de financement pour le futur et donc de se pencher  sur les projets de l’entreprise.

Quel sera le comportement de l’entreprise dans le futur incertain par nature. Pourra t-elle rembourser ses échéances dans une situation dégradée ?

 

– Le compte de résultat retrace la vie de l’entreprise pendant tout l’exercice comptable.

L’analyse du résultat permet de comprendre comment l’entreprise a obtenu son résultat

Le classement par les SIG – Soldes Intermédiaires de Gestion avec la comparaison des années précédentes permet de savoir d’o vient l’entreprise, comment évoluent les différents postes du résultat ;

On calcule en particulier l’excédent brut d’exploitation EBE ou encore la Capacité d’autofinancement (CAF) qui donnent de précieux renseignements sur la conduite de l’entreprise.

Le compte de résultat permet d’établir des budgets prévisionnels et ensuite de suivre mois par mois les agrégats en les comparant systématiquement avec les budgets.

Le compte de résultat permet d’analyser les frais de fonctionnement et la contribution de ces derniers à la croissance du Chiffre d’Affaires et aussi éventuellement à la prise de conscience qu’il existe des frais généraux qui permettent la croissance de l’entreprise et des frais généraux inutiles.

Beaucoup d’informations du tableau de bord du chef d’entreprise proviennent de l’analyse du compte de résultat.

 

– L’annexe donne des informations complémentaires qui permettent la compréhension des comptes.

L’annexe apporte des précisions rendant les comptes annuels plus compréhensibles, chaque fois qu’un exercice comptable prend fin. Selon le type d’annexe (classique, abrégée ou simplifiée) établi, le contenu des informations est plus ou moins détaillé.

L’annexe est nécessaire pour la compréhension des comptes car elle offre une vue plus complète et détaillée de la situation financière de l’entreprise. Elle permet aux personnes qui lisent les états financiers (comme les investisseurs, les créanciers, les actionnaires) d’avoir une compréhension précise des   éléments qui composent les actifs et les passifs ainsi que le résultat de l’entreprise. C’est ainsi que la banque et les investisseurs peuvent  évaluer les risques et les opportunités associés à l’entreprise.

 

 formation en présentiel

Objectifs pédagogiques

A l’issue de la formation, le stagiaire sera capable de :

  • Maîtriser les notions financières et comptables nécessaires à la compréhension de la situation d’une entreprise
  • Identifier les paramètres de pérennité, d’équilibre financier, de rentabilité, de productivité pour une entreprise.
  • Se projeter sur l’avenir de l’établissement à partir des calculs sur les bilans et comptes de résultat des périodes passées, en comprenant bien comment les déséquilibres actuels peuvent révéler des difficultés futures.
  • Prendre une décision par rapport au refus ou à l’acceptation de financement d’une l’entreprise

 

Programme
  1. Les soldes intermédiaires de gestion – SIG – pour l’analyse financière
  2. La mesure de la rentabilité de l’entreprise
  3. Les indicateurs de performance
  4. Le fonds de roulement et le besoin de fonds de roulement
  5. Le calcul et la signification de la capacité d’autofinancement – CAF –
  6. L’utilisation des ratios pour l’analyse financière
  7. Les risques liés à la gestion quotidienne de la trésorerie
  8. Structure de financement, les charges de financement
  9. Le plan d’investissements et le financement de la croissance de l’entreprise
  10. Le diagnostic de l’entreprise
Méthodes et outils : Une formation dynamique avec des exposés, des cours et des exercices d’application pour transmettre les messages clefs, acquérir les connaissances ou réaliser une synthèse.

Des groupes de travail pour faciliter les échanges d’expérience et confronter les idées et les meilleures pratiques.

Il est nécessaire de disposer d’une calculatrice pour ce cours

Dates et lieux du présentiel : NANTES – dates disponibles sur le catalogue :

http://www.ecole-de-la-microfinance.com/programmes-formations-en-microfinance/

Pour toute autre date nous consulter

Organisation de séminaire envisageable dans d’autres villes et/ou pays pour la formation d’un groupe à partir de 5 participants

Contacts : M. Michel Hamon – Responsable Formation
Tél. : + 33 6 52 59 32 37Email : ecole.de.la.microfinance@gmail.com

 

 

L’école de la microfinance a obtenu la certification qualité Qualiopi pour la qualité de ses prestations.

QUALIOPI l'école de la microfinance

QUALIOPI l’école de la microfinance

 

 

 

 

En présentiel uniquement

 

Notre formation s’adresse aux entrepreneurs et aux  formateurs (formation de formateurs en accompagnement d’entreprise)

Elle a pour objectif d’aider à la création d’entreprise. Elle est adaptée  pour ceux qui ont la volonté de lancer leur activité. La formation permet  l’élaboration du business plan, de comprendre les formalités administratives et apporte les compétences nécessaires pour le suivi comptable de l’entreprise..

L’école de la microfinance vous permettra de transformer votre projet en une entreprise solide. Ce cursus inclut des modules sur les outils de  pilotage de gestion, vous préparant à gérer efficacement votre entreprise.

Vous apprendrez également à choisir le statut juridique approprié et à créer un plan financier détaillé.

La formation, vous donnera tous les outils pour devenir un chef d’entreprise averti et compétent.

 

Objectifs pédagogiques A l’issue de la formation, le stagiaire sera capable de :

  • Réaliser un business plan crédible et documenté
  • Accompagner les chefs d’entreprises ou futurs chefs d’entreprises à développer et structurer leurs entreprises
  • Leur apporter les éléments de gestion et de comptabilité indispensables pour maitriser leur développement

Vous pouvez télécharger la fiche détaillée de la formation ici :

MAJ le 25/10/2023

 

Programme 1.       Mieux connaitre le chef d’entreprise : les différents profils des chefs d’entreprises

2.       Accompagner le chef d’entreprise : l’analyse des besoins

3.       Accompagner le chef d’entreprise : le suivi post-création : outils et méthodes

4.       Accompagner le chef d’entreprise : La détermination d’un prix de revient

5.       Former les responsables des TPE et les micro entrepreneurs pour tenir une comptabilité permettant d’apprécier la rentabilité de son activité

6.       Suivre le chef d’entreprise : le diagnostic de l’entreprise

7.       Suivre le chef d’entreprise : le tableau de bord

8.       Suivre le chef d’entreprise : la mise en place d’indicateurs adaptés : analyse des coûts, le besoin de fonds de roulement, la rotation de stock, le délai de paiement des fournisseurs, le crédit client, les prévisions de trésorerie

9.       Former au savoir être : les compétences comportementales de l’entrepreneur

 

Publics concernés Chefs d’entreprises

Créateurs d’entreprises

Comptables d’entreprises

Avocats, juristes, experts-comptables

Conseillers à la création d’entreprise ou à l’accompagnement de l’entreprise

 

Durée en présentiel 21 heures sur 3 jours

 

Méthodes et outils : Apports méthodologiques, Études de cas, mises en situation.

 

Validation : Examen final : certificat de l’école de la microfinance si note supérieure à 10/20 ou attestation de formation

 

Tarif : Frais de formation : 1200 €
Financement privé

 

Pré requis : Il est recommandé d’avoir en préalable des connaissances en gestion d’entreprise

 

Dates et lieux du présentiel : A NANTES dans nos locaux

Organisation de séminaire envisageable dans d’autres villes et/ou pays pour la formation d’un groupe à partir de 5 participants

Les dates des formations sont disponibles sur notre site : http://www.ecole-de-la-microfinance.com/

Pour toutes autres dates nous consulter

 

Contacts : M. Michel Hamon – Responsable Formation
Tél. : + 33 6 52 59 32 37Email : ecole.de.la.microfinance@gmail.com

 

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