COMPTABILITÉ ET ANALYSE FINANCIÈRE D'UNE INSTITUTION DE MICROFINANCE

FINADEV GUINEE Formation à CONAKRY

FORMATION : COMPTABILITÉ ET ANALYSE FINANCIÈRE D’UNE INSTITUTION DE MICROFINANCE

A L’ISSUE DE LA FORMATION, LE STAGIAIRE SERA CAPABLE DE :

  • Maîtriser les schémas d’écritures comptables d’un établissement de microfinance,
  • Comprendre le reporting comptable, contrôler la régularité des états financiers.
  • Identifier les notions financières et comptables nécessaires à la compréhension de la situation de l’IMF,
  • Comprendre et évaluer la politique des risques de l’établissement
  • Calculer les éléments de pérennité, d’équilibre financier, de rentabilité, de productivité pour un établissement de microfinance,
  • Se projeter sur l’avenir à partir des calculs sur les bilans et comptes de résultat des périodes passées, en comprenant bien comment les déséquilibres actuels peuvent révéler des difficultés futures.

 PROGRAMME DE LA FORMATION

  1. Présentation de la réglementation comptable bancaire,
  2. Les états de synthèse
  3. Les principales écritures comptables notamment les écritures de régularisation de fin d’exercice
  4. L’élaboration du bilan et du compte de résultat
  5. Les SIG pour l’analyse financière
  6. La performance (grille d’analyse)
  7. Structure de financement, charges de financement
  8. Le suivi du portefeuille et le PAR.
  9. La mesure de la rentabilité
  10. Le GAP gestion actifs-passifs

 

PUBLIC CONCERNE PAR LA FORMATION

  • Inspecteurs des banques centrales
  • Auditeurs internes des institutions de microfinance
  • Inspecteurs des institutions de microfinance
  • Comptables et contrôleurs de gestion des institutions

 

PRE REQUIS

Pour suivre cette formation, il est obligatoire d’avoir de bonnes connaissances en banque ou en microfinance

 

Le contrôle interne dans la banque

 

Le contrôle   interne se définit comme l’ensemble des sécurités contribuant à la maîtrise des états financiers de la banque

Le contrôle interne bancaire   consiste à vérifier l’ensemble des opérations et des procédures de la banque pour lui apporter une meilleure efficacité, de la fiabilité et s’assurer de la conformité aux lois et aux règlements.

 

Les règlements des banques centrales définissent le contrôle interne dans les établissements financiers et précisent les règles minimales   que les établissements assujettis doivent mettre en œuvre.

 

Les contrôles internes ont pour objet de protéger la banque par rapport à des risques identifiés qu’elle a identifiés :

  • La mise en sécurité des pièces et documents justificatifs des enregistrements comptables ;
  • La pertinence du système d’information et l’opérationnalité du plan de back-up ;
  • La protection des actifs : par la mise sur pied de mécanismes de protection du patrimoine de l’entreprise ;
  • La conformité des opérations de l’organisation et des procédures internes aux lois, règlements, normes et usages professionnels et déontologiques, ainsi qu’aux orientations des organes délibérant et exécutif
  • L’amélioration de l’efficacité opérationnelle : par l’optimisation des processus internes ;
  • La prévention des erreurs et des fraudes : par la mise en place de mécanismes de contrôle et de surveillance appropriés
  • La fiabilité de l’information comptable et financière : depuis la saisie jusqu’à la restitution, ,

 

 

La direction a une responsabilité fondamentale par rapport à l’élaboration et au maintien d’un contrôle   interne efficace.

Le contrôle   interne est une clé de la performance d’un établissement bancaire parce que dans une banque ou dans un établissement de microfinance tout est comptable tant en agence que dans les services du siège.

La Direction Générale a la responsabilité finale de la qualité des états périodiques remontés à la banque centrale et de l’image de marque de l’établissement. Elle a besoin d’un bon fonctionnement du contrôle  interne pour atteindre ses objectifs.

 

La cartographie des risques comptables

Parmi les risques identifiés, les risques liés à la comptabilisation des opérations et à la présentation de documents sincères sont probablement les activités les plus délicates à contrôler.

La maîtrise du contrôle comptable interne repose sur la maîtrise de la cartographie des risques liés aux comptes et le fait de pouvoir mettre des procédures comptables claires qui permettent de limiter les conséquences liées aux différents risques.

La cartographie des risques doit être exhaustive et précise c’est-à-dire qu’elle couvre, «de bout en bout », l’ensemble des processus comptables présents dans la banque dans le cadre de ses activités. La piste d’audit doit ainsi pouvoir être descendu et remontée sans discontinuité.

  • Tous les postes du bilan d’une banque ou d’une microfinance doivent pouvoir être justifiés  soit par une décomposition de compte, soit par un inventaire soit par un état de rapprochement.

La cartographie des risques comptables est formalisée sous une forme structurée et synthétique

La cartographie est évolutive et les risques doivent être réévalués périodiquement en particulier lors de chaque changement organisationnel ou lors de la mise en place de nouveaux applicatifs informatiques.

Les objectifs du contrôle comptable interne

Les objectifs du contrôle comptable interne sont d’assurer la protection, la sauvegarde du patrimoine et la qualité de l’information :

  • Assurer la conformité par rapport aux lois et aux règlements ;
  • Assurer l’application des procédures et instructions en particulier les instructions de la banque centrale   en vue d’améliorer les performances de la banque ou de la microfinance.
  • Être vigilant et réactif car des risques comptables improbables peuvent aussi causer des anomalies importantes notamment après des traitements informatiques.

 

 

 

Le rôle du contrôleur comptable

Le contrôleur comptable dans une banque ou une microfinance a obligatoirement une vision transversale de son établissement.

Il a besoin de savoir créer une requête informatique de type easytrieve ou SQL afin de pouvoir lancer des vérifications directement sur les fichiers informatiques.

Sa mission peut alors être présentée de la façon suivante :

  1. S’assurer que les procédures, les habilitations, les contrôles quatre yeux,  et les limites fixées par la direction générale  en matière de risques sont strictement respectées ;
  2. Veiller à la fiabilité de l’information comptable et financière, depuis la saisie jusqu’à la restitution, l’évaluation périodique, la mise en sécurité des pièces et documents justificatifs des enregistrements comptables.
  3. S’assurer de la pertinence du système d’informations et vérifier très précisément l’opérationnalité du plan de back-up, que des fichiers ne peuvent être enregistrés en double, que les résultats obtenus des traitements sont strictement identiques aux calculs de vérification…
  4. Vérifier que les opérations comptabilisées sont conformes aux dispositions légales et réglementaires.

Améliorer la qualité du contrôle interne en banque

C’est souvent le contrôle comptable interne qui permet de découvrir rapidement les erreurs, fraudes, retards ou laxisme…

Et une erreur corrigée immédiatement coute infiniment moins chère à régulariser qu’une erreur découverte après une longue période qui oblige à une longue série de pointages et reconstitutions.

La majorité des dysfonctionnements auxquels sont confrontés les banques sont détectés par le contrôle comptable interne ou par les auditeurs internes.

 

 

QUALIOPI + AF

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LA GESTION DU PORTEFEUILLE CRÉDIT D’UNE IMF

Le portefeuille de crédit d’une banque ou d’un établissement de microfinance est composé de l’ensemble des dossiers crédit de la clientèle :les comptes courants débiteurs avec ou sans autorisation, les créances commerciales, les autres crédits court terme, les crédits d’équipement, les engagements à long terme.

Ce que craignent le plus les banques et les établissements de microfinance c’est bien sur le non remboursement de leurs crédits par la clientèle.

La gestion du portefeuille crédit dans une microfinance consiste à :

  • A suivre au jour le jour les positions débitrices de la clientèle
  • A contacter immédiatement les clients en cas d’incidents
  • A enregistrer les risques consécutifs aux incidents clients
  • A envisager des réaménagements de l’échéancier des remboursements
  • A effectuer une cotation risque des clients en fonction des incidents mais aussi de la situation économique globale ou des difficultés liées à un secteur professionnel.
  • A déclasser en CDL – contentieux, douteux, litigieux, les créances compromises
  • A mettre en place les provisions pour dépréciations des créances qui sont nécessaires.

Nous indiquons ci-dessous les thèmes développés pendant  les journées de formation aux fondamentaux de la microfinance :

 

Le processus de mise en place des crédits – L’examen du projet présenté par le demandeur.

L’agent de crédit opère une sélection et prend la décision de refuser les projets incohérents, non rentables pour l’emprunteur ou inadaptés.

La constitution de la demande de crédit ne se fait que pour un   projet viable et générateur de revenus pérennes

 

Le lien ci-après donne accès à la présentation de la formation aux fondamentaux de la microfinance :

Les fondamentaux de la microfinance

 

L’analyse du risque

L’élément déterminant pour une saine gestion du portefeuille consiste à accorder des  prêts aux personnes ou aux entités qui présentent les capacités de remboursement nécessaires, et les refuser aux autres.
L’étude attentive du risque de crédit  par l’IMF est  fondamentale. Compte tenu des caractéristiques spécifiques du public, l’analyse du risque est constituée essentiellement par une évaluation informelle des emprunteurs.
L’agent de crédit doit concevoir avec l’emprunteur un budget familial. Il est essentiel que le « reste à vivre » permette d’intégrer chaque semaine la charge de  remboursement du microcrédit.
La décision d’octroi du prêt est prise par le Comité des Crédits.

 

Le suivi du portefeuille crédit

La gestion de portefeuille consiste essentiellement dans le  suivi des clients sains et en retard après décaissement du prêt.
Pour se donner des chances de recouvrement, la détection des retards dans le remboursement doit être immédiate.
Les créances défectueuses (CDL contentieux, douteux et litigieux) font l’objet de déclassements. L’IMF doit savoir calculer les indicateurs de portefeuille à risque (PAR 30 et PAR 90).
L’IMF calcule périodiquement son « coût du risque. »

 

La problématique du remboursement des crédits et le recouvrement

Une fois le retard détecté, l’IMF met en œuvre un programme de recouvrement.
La rapidité de la réaction par l’IMF est de loin l’élément le plus déterminant pour le recouvrement d’un prêt.
Les sanctions en cas de retard prévues sur les contrats de prêts doivent être appliquées de façon systématique.
L’IMF ayant une vocation sociale, l’agent de recouvrement n’hésitera pas  à se montrer imaginatif dans les solutions pour trouver des solutions conciliantes  envers les emprunteurs qui ne peuvent pas rembourser de bonne foi.
Les procédures de recouvrement par voie judiciaire ne sont généralement pas adaptées pour obtenir le remboursement par les emprunteurs.

 

La performance de l’IMF sociale et financière de l’IMF

Conférence : Le microcrédit un outil pour le développement local

La mission sociale d’une IMF consiste à proposer  des services financiers à la portée de personnes pauvres.
Pour autant une IMF à un métier financier lequel exige la plus grande rigueur de gestion.
Pour concilier au mieux ces deux missions, l’IMF doit dispose de critères rigoureux de sélection des projets qu’elle est disposée à  financer permettant ainsi la création de micros  entreprises et la création d’emploi.
L’intérêt bien compris d’une IMF est de mettre en place sur son segment de clientèle des procédures de sélection de prêts très rigoureuses afin d’avoir une forte probabilité que les prêts soient remboursés dans les conditions convenus.

 

 

 

 

             L’école de la comptabilité NANTES

Des formations pour des comptables des banques et des établissements de microfinance.

 

Le métier de comptable dans un établissement de microfinance  présente de nombreuses spécificités par rapport au métier de comptable d’entreprise du fait pour commencer de la gestion des  crédits à la clientèle et de la gestion comptable des  dépôts.

D’autres spécificités concernent  la relation permanente avec la banque, la gestion spécifique de la trésorerie et des échéances, le hors bilan et un compte de résultat très spécifique.

Le compte de résultat d’un établissement de microfinance a une logique très spécifique.

Par ailleurs de multiples écritures sont comptabilisées directement par des applicatifs informatiques dont il faut bien maitriser les schémas comptables

Ce qui rend aussi complexe la trésorerie d’une microfinance de la clientèle des spécificités mises en exergue par des formations et des ouvrages dédiés depuis de très nombreuses années.

La comptabilité de la microfinance doit également permettre l’établissement de multiples états réglementaires destinés aux banques centrales.

 

Objectifs de la formation en comptabilité bancaire

 

S’approprier les principes généraux de la comptabilité des banques et des établissements de microfinance

Connaitre l’architecture du plan comptable des établissements de microfinance

Comptabiliser les opérations d’un établissement de microfinance

Savoir préparer les documents réglementaires dont le reporting prudentiel.

 

 

Retrouvez le programme de la formation à la comptabilité bancaire ou d’une microfinance en suivant le lien ci-dessous :

http://www.ecole-de-la-microfinance.com/formations-en-banque-et-en-microfinance/comptabilite-dune-institution-de-microfinance/

 

Séquence 1 : Les finalités et les acteurs de la comptabilité

  • Définition et concept de la comptabilité
  • Finalité de la comptabilité bancaire
  • Comptabilité générale et comptabilité analytique
  • Les informations comptables à présenter et les traitements comptables.
  • La certification régulière et sincère des comptes par un ou plusieurs commissaires aux comptes.

 

Séquence 2 : La méthode et le modèle comptable

  • La Loi bancaire, Le droit et la réglementation comptable
  • Le plan comptable des établissements de microfinance
  • La comptabilité d’engagements
  • La distinction entre bilan et hors-bilan
  • Les conventions et principes comptables
  • Les organisations comptables centralisées ou décentralisées

 

Séquence 3 : Les particularités de l’organisation des banques et des établissements de microfinance

  • Principe d’informations financières des établissements de crédit
  • La communication à la banque centrale de divers états et situations comptables selon une périodicité et des conditions définies par elle.
  • Comprendre les mécanismes comptables résultant de l’intermédiation financière
  • Le plan comptable des établissements de microfinance
  • La signification économique des bilans des banques et établissements de crédit
  • Les obligations comptables résultant de la réglementation de la microfinance
  • Les opérations de la clientèle (dépôts, crédits, services)
  • La détermination du  coût du risque
  • Les opérations de trésorerie des microfinances
  • Le respect de la piste d’audit

 

Séquence 4 : L’enregistrement des opérations de l’établissement de microfinance

  • L’enregistrement des dépôts de la clientèle sur les comptes à vue, les comptes d’épargne et les DAT
  • Les crédits (l’ouverture du crédit, l’utilisation du crédit par le client, l’amortissement du crédit)
  • La saisie des garanties reçues
  • La facturation des services : formations, transferts de fonds, assurances, locations de coffres…
  • Les moyens de paiement
  • Le recouvrement des valeurs, les chèques à encaisser
  • La comptabilité usuelle de l’IMF, les relations avec les fournisseurs et les clients, avec les salariés, les charges sociales, les achats et les ventes.
  • L’enregistrement des promesses en hors bilan
  • La Taxe sur la Valeur Ajoutée
  • Les immobilisations corporelles et incorporelles
  • Les états de rapprochement
  • L’enregistrement des subventions obtenues

 

Séquence 5 : La préparation des états financiers et les travaux de fin d’exercice (inventaire)

  • Les inventaires annuels
  • L’ajustement des charges et des produits dans le temps
  • Les dotations aux amortissements
  • Le déclassement des crédits CDL Contentieux, douteux, litigieux
  • Les abandons de créances
  • Les provisions pour dépréciation des crédits
  • Les autres types de provisions
  • Le FRBG – fonds pour risques bancaires généraux

 

Séquence 6 L’organisation du traitement de l’information comptable

  • Le document de base : la pièce comptable
  • L’archivage comptable
  • Journal – grand livre – balance
  • Le logiciel comptable
  • La clôture et la réouverture des comptes

 

Séquence 7 L’élaboration des états financiers de synthèse

  • L’établissement du bilan, du compte de résultat et de l’annexe
  • La vérification des états financiers
  • Les soldes intermédiaires de gestion
  • L’interprétation des états financiers
  • Les ratios de profitabilité et de rentabilité économiques et financiers

 

L’école de la microfinance est certifiée QUALIOPI

L'école de la microfinance est certifiée QUALIOPI

L’école de la microfinance a obtenu la certification qualité Qualiopi pour la qualité de ses prestations.

 

Formation à la comptabilité bancaire

 

Objectifs de la formation :

 

S’approprier les principes généraux de la comptabilité des banques et des établissements de microfinance

Connaitre l’architecture du plan comptable des établissements de banque et de microfinance

Comptabiliser les opérations d’une banque ou d’un établissement de microfinance

Savoir préparer les documents réglementaires dont le reporting prudentiel.

http://www.ecole-de-la-microfinance.com/formations-en-microfinance/formation-responsables-comptables-des-banques-et-des-etablissements-de-microfinance/

 

La comptabilité bancaire en 8 modules

 

1 Les finalités et les acteurs de la comptabilité bancaire

  • Définition et concept de la comptabilité
  • Finalité de la comptabilité
  • Les utilisateurs des informations comptables
  • La certification régulière et sincère des comptes par un ou plusieurs commissaires aux comptes.

2 : La méthode et le modèle comptable

  • Le Plan Comptable des établissements de crédit
  • Les principes fondamentaux de la comptabilité
  • Les schémas comptables
  • La comptabilisation des opérations en devises et des opérations sur titres
  • L’enregistrement des promesses en hors bilan
  • La saisie des garanties reçues

 3 : Les particularités de la comptabilité d’une banque ou d’un établissement de microfinance

  • La production des états réglementaires et situations comptables périodiques à destination de la banque centrale
  • Les comptes de correspondants
  • Le calcul du coût du risque
  • Principe d’informations financières des établissements de crédit
  •  Comprendre les mécanismes comptables résultant de l’intermédiation financière
  • La signification économique des bilans des banques et établissements de crédit

4 : L’enregistrement des opérations de l’établissement de microfinance

  • Analyse comptable des opérations courantes de la clientèle (la collecte, les crédits)
    • 1 Les dépôts et retraits de la clientèle sur les comptes courants
    • 2 Les opérations sur les comptes d’épargne
    • 3 La mise en place des prêts
    • 4 Le remboursement des prêts
  • L’enregistrement des dépôts de la clientèle sur les comptes à vue, les comptes d’épargne et les DAT
  • Les crédits (l’ouverture du crédit, l’utilisation du crédit par le client, l’amortissement du crédit)
  • La facturation des services : formations, transferts de fonds, assurances, locations de coffres…
  • Les moyens de paiement
  • Le recouvrement des valeurs, les chèques à encaisser
  • La Taxe sur la Valeur Ajoutée
  • La comptabilité usuelle de la banque, les relations avec les fournisseurs et les clients,
  • La comptabilisation de la paye.
  • Les immobilisations corporelles et incorporelles
  • Les états de rapprochement avec les correspondants Nostri, le traitement des Lori
  • L’enregistrement des subventions obtenues.

5 : La préparation des états financiers et les travaux de fin d’exercice (inventaire)

  • Les inventaires annuels
  • L’ajustement des charges et des produits dans le temps
  • Les dotations aux amortissements
  • L’examen du portefeuille
  • Le déclassement des crédits CDL Contentieux, douteux, litigieux
  • Les abandons de créances
  • Les provisions pour dépréciation des crédits
  • Les autres types de provisions
  • Le FRBG – fonds pour risques bancaires généraux

6 L’organisation du traitement de l’information comptable

  • Le document de base : la pièce comptable
  • Le logiciel comptable
  • Le respect de la piste d’audit
  • L’archivage comptable
  • Le livre des procédures comptables
  • Les écritures de clôture des comptes
  • La réouverture des comptes et les extournes
  • La consolidation

7 L’élaboration des états financiers de synthèse

  • La détermination des capitaux propres
  • L’établissement du bilan, du compte de résultat et de l’annexe
  • La production des états réglementaires
  • La vérification des états financiers
  • Les soldes intermédiaires de gestion
  • L’interprétation des états financiers
  • Les ratios de profitabilité et de rentabilité économiques et financiers

8 Le contrôle comptable interne

  • Les procédures comptables
  • L’environnement réglementaire
  • Les critères opérationnels du contrôle comptable
  • Le contrôle interne comptable : concepts de base
    –  Définition et périmètre du contrôle interne comptable
    –  Principales caractéristiques du dispositif du contrôle comptable
    La cartographie des risques comptables
    l’organisation du contrôle comptable

 

 

L’école de la banque  Nantes

Formation en comptabilité générale des comptables des banques et des établissements de microfinance.

 

  accédez au programme de formation

http://www.ecole-de-la-microfinance.com/formations-en-banque-et-en-microfinance/comptabilite-dune-institution-de-microfinance/

Pour tous renseignements : l’école de la microfinance

Michel HAMON

Responsable des formations

L’école de la microfinance

10 rue Paul Dubois

44000 – NANTES

http://www.ecole-de-la-microfinance.com

tel + 33 6 52 59 32 37

 

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